Benvenuti sul mio blog! qui troverete una breve storia del nucleare in Francia e in Italia e la cooperazione fra i due paesi. Bienvenus dans mon blog! ici vous troverez une petite histoire du nucléaire en France et Italie et la coopération entre les deux pays.
giovedì 22 marzo 2012
Mobilisation pour la sortie du nucléaire
Dimanche 11 mars 2012, un an jour pour jour après le début de la catastrophe de Fukushima, plus de 60 000 personnes ont déferlé dans la vallée du Rhône, de Lyon à Avignon, en formant une gigantesque chaîne humaine.
Se tenir la main le long de la nationale 7, entre Lyon et Avignon, pour « sortir du nucléaire », le pari était osé mais l’opération a marché. Alors qu’au Japon, où le premier anniversaire du séisme et du tsunami du 11 mars 2011 était célébré dans les larmes et les pleurs, en France, le collectif « Sortir du nucléaire de la Drôme et l’Ardèche, qui a pour but d’informer, de sensibiliser les citoyens sur les ravages relatifs à l’industrie de l’Atome, a réussi hier à rassembler des milliers de gens sur les bords de la N7. Vêtue de gilets fluo, une foule, parmi laquelle deux candidats à la présidentielle, s’est déployée formant une « chaîne humaine » sur environ 240 km. Évidemment, l’ambition de réaliser une chaîne de personnes, main dans la main, sur tout le trajet, a été mise à rude épreuve.
Les gens ont pu se rendre sur place à partir de l’un des 128 départs groupés prévus dans tout le pays. Les soixante points de ralliement de Lyon à Avignon étaient détaillés par taux de remplissage pour permettre une meilleure répartition des participants. Si plusieurs dizaines de cars venus d’Allemagne, de Suisse, de Belgique et de toute la France ont déferlé sur le site depuis la fin de matinée, les organisateurs n’étaient pas en mesure de chiffrer la participation : plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient attendues. Les Verts et le NPA de la partie
En Ardèche, Eva Joly, la candidate d’EELV à l’Élysée, s’est mêlée aux participants, en face de la centrale nucléaire de Cruas. Ses porte-parole étaient à ses côtés, l’eurodéputé José Bové et Dominique Voynet, et le sénateur Jean-Vincent Placé.
Quelques mètres plus loin, Philippe Poutou, candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), a également pris place. « Je trouve ça symbolique que la chaîne humaine soit devant cette centrale. C’est une mobilisation citoyenne, pour clairement dire que le peuple de France ne veut pas de l’énergie nucléaire », a déclaré Eva Joly.
Le tracé de cette manifestation pacifique, de Lyon à Avignon, a été choisi parce que la vallée du Rhône est la région la plus nucléarisée d’Europe, avec 14 réacteurs nucléaires. « Les habitants ici sont tous à 30 km d’une centrale », a expliqué Christine Hasse, de l’association Réaction en chaîne humaine.
À l’origine de cet événement, une association motivée qui a reçu de nombreux soutiens (Greenpeace, Les amis de la terre, Cap 21, Écologie sans frontière, EELV, NPA, le Parti de gauche, Attac, etc.). Le candidat socialiste, François Hollande, s’est engagé à réduire d’ici à 2025 de 75 % à 50 % la part du nucléaire dans la production d’électricité en France. Il s’est également prononcé sur la fermeture des deux tranches de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), la plus ancienne du parc français. Mais Nicolas Sarkozy défend bec et ongles l’industrie nucléaire française. Japon : l’hommage à "ceux qui ont perdu la vie"
Hommage et recueillement. Dans la majeure partie du Japon, la vie s’est figée hier à 14 h 46 (5 h 46 chez nous), pour une minute de silence à l’instant précis où un violent séisme de magnitude 9 survenu dans l’océan Pacifique a secoué le nord-est de l’archipel le 11 mars 2011, déclenchant des vagues de plusieurs dizaines de mètres sur la côte. Un recueillement pour les milliers de victimes du séisme et du tsunami, qui avait aussi provoqué la plus grave catastrophe nucléaire au monde depuis Tchernobyl (Ukraine) il y a un quart de siècle.
Dans les villes et villages dévastés, les proches des quelque 19 000 morts et disparus - plus de 32 000 corps n’ont toujours pas été retrouvés - se sont recueillis dans le chagrin et la douleur, au cours de cérémonies improvisées sur les lieux de la tragédie. Des cloches et des sirènes ont retenti un peu partout dans le pays pour appeler la population au recueillement.
À Tokyo, lors d’une cérémonie officielle organisée au Théâtre National en présence de l’empereur Akihito, de son épouse Michiko et des membres du gouvernement, quelque 1 200 invités ont entonné l’hymne national, avant de se recueillir, la tête inclinée, à la mémoire des victimes. L’empereur, à peine remis d’un pontage coronarien, s’est incliné devant le parterre de fleurs, avant de prononcer une courte allocution retransmise par les télévisions. « Un an s’est écoulé depuis le Grand tremblement de terre de l’est, je rends profondément hommage à tous ceux qui y ont perdu la vie », a déclaré le souverain, symbole du peuple.
(Source: http://chainehumaine.org/)
Francia, Hollande rottama il nucleare per l’Eliseo
Pur di portare a casa la vittoria alle prossime elezioni, i socialisti francesi si preparano a sacrificare quasi la metà del nucleare nazionale, che attualmente copre i tre quarti della produzione di energia in Francia. La chiusura da qui al 2025 di 24 dei 58 reattori attualmente in funzione è scritta nei patti che il candidato socialista alle presidenziali del 2012, François Hollande, ha stretto con il partito ecologista: i verdi - che in Francia godono di un seguito crescente e importante quasi come quello dei loro colleghi tedeschi - uniranno le loro forze a quelle socialiste per assicurare alla sinistra la vittoria nelle elezioni parlamentari che si terranno insieme alle presidenziali e otterranno in cambio una sessantina di candidature comuni riservate ai loro uomini, la metà circa delle quali praticamente vincenti in partenza.
Dopo lungo tentennare, Hollande conferma dunque di voler far scendere dal 75 al 50 per cento la quota di nucleare nel mix energetico del Paese che nel mondo ha con maggior decisione puntato sull’atomo. Una scelta che gli esperti definiscono folle (per la Francia significa accollarsi una spesa di 60 miliardi di euro esclusi i costi dello smantellamento delle centrali e perdere di fatto l’indipendenza energetica) e che la destra di Sarkozy, in affanno nei sondaggi, ha già bollato come «una svendita irresponsabile di cui saranno i francesi a pagare il conto» con un marcato rialzo delle bollette (si prevede fino al 40%) e un aumento dell’inquinamento atmosferico. Per non parlare del colpo micidiale inferto a un settore trainante dell’economia nazionale.
Per Sarkozy la prevedibile batosta elettorale è solo uno dei problemi che dovrebbero angustiarlo. Problemi che indicano come la Francia sia avviata su una strada non molto diversa da quella italiana.
(Per leggere tutto l’articolo: http://www.ilgiornale.it/esteri/hollande_rottama_nucleare_leliseo/17-11-2011/articolo-id=557338-page=0-comments=1)
Dopo lungo tentennare, Hollande conferma dunque di voler far scendere dal 75 al 50 per cento la quota di nucleare nel mix energetico del Paese che nel mondo ha con maggior decisione puntato sull’atomo. Una scelta che gli esperti definiscono folle (per la Francia significa accollarsi una spesa di 60 miliardi di euro esclusi i costi dello smantellamento delle centrali e perdere di fatto l’indipendenza energetica) e che la destra di Sarkozy, in affanno nei sondaggi, ha già bollato come «una svendita irresponsabile di cui saranno i francesi a pagare il conto» con un marcato rialzo delle bollette (si prevede fino al 40%) e un aumento dell’inquinamento atmosferico. Per non parlare del colpo micidiale inferto a un settore trainante dell’economia nazionale.
Per Sarkozy la prevedibile batosta elettorale è solo uno dei problemi che dovrebbero angustiarlo. Problemi che indicano come la Francia sia avviata su una strada non molto diversa da quella italiana.
(Per leggere tutto l’articolo: http://www.ilgiornale.it/esteri/hollande_rottama_nucleare_leliseo/17-11-2011/articolo-id=557338-page=0-comments=1)
L'irresponsabilité de François Hollande sur le nucléaire
Ainsi, les socialistes sont prêts à remettre en cause une des rares filières d'excellence dont la France dispose depuis des décennies : la filière nucléaire, au nom d'accords électoraux minables passés avec les écologistes. Comment les socialistes, qui d'ordinaire sont favorables au progrès technique, humain et social, souhaitent-ils sacrifier l'indépendance énergétique de la France ?
Bien sûr, on cherche à nous faire peur après la catastrophe de Fukushima, alors même que les centrales nucléaires japonaises ne sont pas conçues comme les nôtres, et surtout que la plupart des morts sont dues au tremblement de terre et au raz de marée qui s'ensuivirent. Il n'est pas ici question de dire pour autant que rien ne doit changer : on peut très bien développer des énergies alternatives comme l'éolien offshore (em mer) le long des côtes (comme le font nos voisins européens), la géothermie, la biomasse, l'énergie solaire... et peut-être réussira-on, dans 15 ou 20 ans, à développer une technologie nouvelle bien plus efficace que le nucléaire ! Mais faire croire qu'on peut faire fermer autant de réacteurs dans une période aussi courte (20 à 25 ans) sans pénaliser l'emploi et la consommation des Français est une absurdité, une stupidité sans nom.
Claude Allègre, qui a pris ses distances avec son parti et l'un des rares à être prêt à remettre en cause ses camarades, le dit mieux que personne : "Je n'y vois rien d'autre que de la politique politicienne aboutissant à une aberration sur le plan économique et, finalement, à une trahison par rapport à la nation et à tout ce qui a été accompli depuis des décennies par tous les gouvernements."
(Sources : Le Figaro)
Bien sûr, on cherche à nous faire peur après la catastrophe de Fukushima, alors même que les centrales nucléaires japonaises ne sont pas conçues comme les nôtres, et surtout que la plupart des morts sont dues au tremblement de terre et au raz de marée qui s'ensuivirent. Il n'est pas ici question de dire pour autant que rien ne doit changer : on peut très bien développer des énergies alternatives comme l'éolien offshore (em mer) le long des côtes (comme le font nos voisins européens), la géothermie, la biomasse, l'énergie solaire... et peut-être réussira-on, dans 15 ou 20 ans, à développer une technologie nouvelle bien plus efficace que le nucléaire ! Mais faire croire qu'on peut faire fermer autant de réacteurs dans une période aussi courte (20 à 25 ans) sans pénaliser l'emploi et la consommation des Français est une absurdité, une stupidité sans nom.
Claude Allègre, qui a pris ses distances avec son parti et l'un des rares à être prêt à remettre en cause ses camarades, le dit mieux que personne : "Je n'y vois rien d'autre que de la politique politicienne aboutissant à une aberration sur le plan économique et, finalement, à une trahison par rapport à la nation et à tout ce qui a été accompli depuis des décennies par tous les gouvernements."
(Sources : Le Figaro)
Situazione di isolamento della Francia
Oggi si assiste ad una situazione di isolamento della Francia. Infatti, a livello europeo:
l’Italia, nonostante tutti i progetti di collaborazioni firmati con la Francia, al referendum di Giugno 2011 ha scelto il no, dicendo definitivamente addio al nucleare.
la Germania ha deciso lo scorso Maggio di chiudere gli ultimi suoi reattori entro il 2022 per seguire una nuova strada, diventando la prima grande potenza industriale a rinunciare al nucleare dall’incidente di Fukushima; La cancelliera Merkel ha affermato di volere un’elettricità sicura, affidabile ed economicamente sostenibile.
Gran parte dei reattori tedeschi sono stati disattivati lo scorso anno, mentre gli ultimi tre funzioneranno per altri dieci anni al massimo. Le strategie tedesche per il futuro prevedono la riduzione del consumo dell'elettricità del 10% nel 2020 attraverso ulteriori misure di incremento dell'efficienza energetica, l’adeguamento delle abitazioni per renderle efficienti dal punto di vista energetico, il raddoppio della quota di energia prodotta da fonti rinnovabili al 35% nel 2020 e la riduzione delle emissioni di gas serra del 40% nello stesso periodo.
Data la maggior rilevanza che gas e carbone rivestiranno nel mix produttivo energetico della Germania, si stima che la CO2 rilasciata ogni anno nell'atmosfera aumenterà tra i 20 e i 29 milioni di tonnellate.
La chiusura dei reattori tedeschi è la conseguenza di una forte opposizione da parte di decine di attivisti di Greenpeace che lo scorso Maggio si sono arrampicati sulla Porta di Brandeburgo, a Berlino, per chiedere lo stop del nucleare esponendo uno striscione con la scritta «Ogni giorno di energia nucleare è uno di troppo». Altre decine di migliaia di persone hanno manifestato in diverse città sempre contro il nucleare.
fonte foto: www.epochtimes.de
fonte foto:www.greenpeace.de
In Italia, la decisione tedesca è stata vista come un trionfo da parte delle oltre 80 associazioni del Comitato «Vota Sì al referendum per fermare il nucleare» mentre secondo altri tale decisione è influenzata dall'ondata di panico per il disastro di Fukushima ed è stata fatta per il terrore di perdere voti.
Per leggere tutto l’articolo: http://www.corriere.it/esteri/11_maggio_30/germania-energia-nucleare_cd5b0910-8a7e-11e0-93d0-5db6d859c804.shtml
Anche la Svizzera, subito dopo la Germania, ha annunciato la sua uscita graduale dal nucleare entro il 2034. Le centrali saranno disattivate alla fine del ciclo di vita e non saranno sostituite. Per garantire l' energia elettrica necessaria, l'Esecutivo elvetico punterà, nel quadro della sua nuova strategia energetica 2050, su un maggior risparmio energetico, sul potenziamento dell'energia idroelettrica e delle energie rinnovabili, sulle importazioni, ed eventualmente sulla produzione di energia elettrica a partire da combustibili fossili.
Circa il 40% dell'elettricità prodotta in Svizzera è attualmente di origine nucleare e proviene dalle cinque centrali di Beznau I e II, Mühleberg, Gösgen e Leibstadt.
fonte foto: www.greenreport.itLa graduale minore produzione delle centrali nucleari dovrà essere compensata dall’energia idroelettrica, dalle energie rinnovabili, dagli impianti di cogenerazione e dalle centrali a gas a ciclo combinato. Nel 2050, l’aumento della quota di elettricità di origine termo-fossile genererà un incremento delle emissioni di CO2 compreso tra 1.09 e 11.92 tonnellate.
Il proseguimento delle misure di miglioramento della politica energetica dovrebbe tuttavia consentire di ridurre le emissioni di CO2 di 14,4 milioni di tonnellate rispetto al 2009, a parere di Berna. Di conseguenza, secondo il Governo elvetico, il totale delle emissioni non aumenterà ulteriormente, nonostante la maggiore produzione di elettricità a partire da fonti fossili.
(Fonte: di Lino Terlizzi - Il Sole 24 Ore - leggi su http://24o.it/wVkBZ)
l’Italia, nonostante tutti i progetti di collaborazioni firmati con la Francia, al referendum di Giugno 2011 ha scelto il no, dicendo definitivamente addio al nucleare.
la Germania ha deciso lo scorso Maggio di chiudere gli ultimi suoi reattori entro il 2022 per seguire una nuova strada, diventando la prima grande potenza industriale a rinunciare al nucleare dall’incidente di Fukushima; La cancelliera Merkel ha affermato di volere un’elettricità sicura, affidabile ed economicamente sostenibile.
Gran parte dei reattori tedeschi sono stati disattivati lo scorso anno, mentre gli ultimi tre funzioneranno per altri dieci anni al massimo. Le strategie tedesche per il futuro prevedono la riduzione del consumo dell'elettricità del 10% nel 2020 attraverso ulteriori misure di incremento dell'efficienza energetica, l’adeguamento delle abitazioni per renderle efficienti dal punto di vista energetico, il raddoppio della quota di energia prodotta da fonti rinnovabili al 35% nel 2020 e la riduzione delle emissioni di gas serra del 40% nello stesso periodo.
Data la maggior rilevanza che gas e carbone rivestiranno nel mix produttivo energetico della Germania, si stima che la CO2 rilasciata ogni anno nell'atmosfera aumenterà tra i 20 e i 29 milioni di tonnellate.
La chiusura dei reattori tedeschi è la conseguenza di una forte opposizione da parte di decine di attivisti di Greenpeace che lo scorso Maggio si sono arrampicati sulla Porta di Brandeburgo, a Berlino, per chiedere lo stop del nucleare esponendo uno striscione con la scritta «Ogni giorno di energia nucleare è uno di troppo». Altre decine di migliaia di persone hanno manifestato in diverse città sempre contro il nucleare.
fonte foto: www.epochtimes.de
fonte foto:www.greenpeace.de
In Italia, la decisione tedesca è stata vista come un trionfo da parte delle oltre 80 associazioni del Comitato «Vota Sì al referendum per fermare il nucleare» mentre secondo altri tale decisione è influenzata dall'ondata di panico per il disastro di Fukushima ed è stata fatta per il terrore di perdere voti.
Per leggere tutto l’articolo: http://www.corriere.it/esteri/11_maggio_30/germania-energia-nucleare_cd5b0910-8a7e-11e0-93d0-5db6d859c804.shtml
Anche la Svizzera, subito dopo la Germania, ha annunciato la sua uscita graduale dal nucleare entro il 2034. Le centrali saranno disattivate alla fine del ciclo di vita e non saranno sostituite. Per garantire l' energia elettrica necessaria, l'Esecutivo elvetico punterà, nel quadro della sua nuova strategia energetica 2050, su un maggior risparmio energetico, sul potenziamento dell'energia idroelettrica e delle energie rinnovabili, sulle importazioni, ed eventualmente sulla produzione di energia elettrica a partire da combustibili fossili.
Circa il 40% dell'elettricità prodotta in Svizzera è attualmente di origine nucleare e proviene dalle cinque centrali di Beznau I e II, Mühleberg, Gösgen e Leibstadt.
fonte foto: www.greenreport.itLa graduale minore produzione delle centrali nucleari dovrà essere compensata dall’energia idroelettrica, dalle energie rinnovabili, dagli impianti di cogenerazione e dalle centrali a gas a ciclo combinato. Nel 2050, l’aumento della quota di elettricità di origine termo-fossile genererà un incremento delle emissioni di CO2 compreso tra 1.09 e 11.92 tonnellate.
Il proseguimento delle misure di miglioramento della politica energetica dovrebbe tuttavia consentire di ridurre le emissioni di CO2 di 14,4 milioni di tonnellate rispetto al 2009, a parere di Berna. Di conseguenza, secondo il Governo elvetico, il totale delle emissioni non aumenterà ulteriormente, nonostante la maggiore produzione di elettricità a partire da fonti fossili.
(Fonte: di Lino Terlizzi - Il Sole 24 Ore - leggi su http://24o.it/wVkBZ)
À propos de santé… La salute…
Uno studio dell’Inserm, Institut nationale de la santé et de la recherche médicale, ha evidenziato un’incidenza maggiore di casi di leucemia infantile nei pressi di 19 siti nucleari d’oltralpe. I risultati della ricerca coordinata dalla dott.ssa Jacqueline Clavel del dipartimento di Epidemiologia e prossima alla pubblicazione sull’International Journal of Cancer, non sono tuttavia sufficienti a stabilire con certezza un rapporto di causa-effetto fra i casi di leucemia e la vicinanza alle centrali nucleari.
Dominique Laurier, responsabile del reparto di Epidemiologia dell’Istituto di radioprotezione e sicurezza nucleare (IRSN) e co-autore dello studio, commenta che si tratta di un risultato verificato e statisticamente significativo, oltre che sorprendente. In effetti, studi precedenti non avevano registrato scostamenti evidenti rispetto alla media nazionale. Tuttavia, fra il 2002 e il 2007, periodo di riferimento del nuovo studio, 14 bambini con meno di 15 anni che abitano in un raggio di 5 km dai siti nucleari si sono ammalati di leucemia, un’incidenza superiore del doppio rispetto al normale.
Si tratta però di numeri troppo bassi per giungere a conclusioni definitive, per ottenere le quali il dott. Dominique Laurier suggerisce l’avvio di studi più approfonditi.
I ricercatori francesi ipotizzano la presenza di altri fattori scatenanti, come l’esposizione a particolari agenti naturali industriali, ma l’ipotesi più dibattuta é quella che gli afflussi di etnie diverse possono modificare l’equilibrio immunitario di un popolo. Peraltro diversi studi hanno già sostenuto tale ipotesi, spiega la dott.ssa Clavel.
Altri ricercatori tuttavia esprimono dubbi in proposito, anche perché l’ipotesi non spiega i risultati di uno studio tedesco, che sul lungo periodo ha mostrato un’incidenza doppia nei casi di leucemia sui bambini con meno di cinque anni che risiedevano vicino a centrali nucleari, in aree non interessate dal fenomeno dell’immigrazione.
(Fonte: http://www.italiasalute.it/Centro_Malattie.asp?Sezione=Leucemia; articolo di Andrea Piccoli, 16 /01/2012)
En décembre 2007, l’Institut fédéral allemand de protection contre les rayonnements ionisants a rendu publique une étude épidémiologique multi-sites portants sur 16 sites nucléaires allemands, qui fait état d’un excès de risque de leucémies chez les enfants de moins de cinq ans vivant dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires allemandes.
Suite a cette étude, l’IRSN a entrepris une revue critique de la littérature scientifique internationale sur le risque de leucémie chez l’enfant vivant à proximité d’installation nucléaires. Cette étude cherche à répondre à la question « la fréquence des leucémies à proximité de sites nucléaires est-elle plus élevée qu’ailleurs ? ».
(Pour lire la revue: http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Documents/IRSN-Rapport-Leucemie.pdf)
Des chercheurs de l’Inserm et de l’Université Paris 11 publient dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire les premières données sur les cancers de l’enfant pour la période 2000-2004. Elles montrent une augmentation du nombre de nouveaux cas qui pourrait s’expliquer par de meilleurs outils de diagnostic. Au total, un enfant sur 440 est susceptible de développer un cancer avant l’âge de 15 ans.
Bien que rares et ne représentant que 0,2% des décès par cancers en 2005, les cancers de l’enfant constituent la deuxième cause de mortalité entre 1 et 14 ans, après les accidents.
L’étude dirigée par Jacqueline Clavel (Inserm/ Université Partis Sud) et publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’Institut de Veille Sanitaire couvre pour la première fois l’ensemble du territoire français métropolitain. Elle est basée sur le Registre national des tumeurs solides de l’enfant qui fournit des données annuelles sur l’incidence des cancers de l’enfant en France.
Au total, 8.473 cancers ont été enregistrés chez les enfants de 0 à 14 ans entre 2000 et 2004, dont 3.446 hémopathies malignes (maladies du sang) et 5 027 tumeurs solides. Les chercheurs estiment le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de nouveaux cas survenus durant la période étudiée, à 156,6 cas de cancers par an et par million d’enfants. "En d’autres termes, précisent les auteurs, un enfant sur 440 est susceptible de développer un cancer ou un tumeur cérébrale bénigne avant l’âge de 15 ans."
Le nombre de cas observé est 20% plus élevé chez les garçons et environ 50% des cancers de l’enfant sont survenus avant 5 ans, avec une répartition par tranche d’âge variable selon les cancers. Les cancers les plus fréquents sont les leucémies (29%), les tumeurs du système nerveux central (23%), les lymphomes (12%) et les neuroblastomes (8%).
L’incidence globale des cancers observée est en hausse par rapport à la période 1990-1999. Selon les auteurs ces chiffres sont concordants avec ceux observés en Europe et aux Etats-Unis et peuvent s’expliquer par une amélioration des techniques de diagnostic de ce type de cancers. Au-delà de l’obtention de statistiques sur les cancers de l’enfant, ces registres répondent également à un objectif de santé publique : rechercher les causes de ces cancers afin de mieux les prévenir.
(Source :www.inserim.fr)
Le centrali nucleari francesi responsabili dell'incremento di leucemie infantile acute?
International Journal of Cancer pubblica la ricerca "Childhood leukemia around French nuclear power plants - the Geocap study, 2002-2007" nella quale un team di ricercatori francesi dell' Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) e dell'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (Irsn) riportano i risultati degli studi sui rischi di leucemia leucemia infantile acuta (Al) nei dintorni delle centrali nucleari francesi, a partire dalla ricerca Geocap dell'Inserm che include i 2.753 casi diagnosticati in tutta la Francia continentale tra il 2002 ed il 2007, geo-codificati e situati intorno alle 19 centrali nucleari francesi, e gli oltre 30.000 controlli sulla popolazione.
Lo studio ha utilizzato distanza di centrali nucleari e dose-based geographic zoning (Dbgz) , «Basata sulla dose stimata di midollo osseo in relazione agli scarichi gassosi delle centreali nucleari». E' venuto fuori che « Un odds ratio (Or) di 1.9 [1.0-3.3], basato su 14 casi, è stato evidenziato per i bambini che vivono entro 5 Km dalle centrali nucleari, paragonati con quelli che vivono lontano 20 km o più, ed un'associazione molto simile è stata osservata in concomitanti studi di incidenza (standardized incidence ratio (Sir) = 1.9 [1.0-3.2]). Questi risultati sono stati simili per tutti i 5 gruppi di anni di età . Questo persiste anche dopo le stratificazioni per alcune caratteristiche contestuali di comuni di residenza». I risultati, utilizzando il Dbgz risultato nell'Or e nel Sir, si avvicinano maggiormente. Inoltre non c'è stato un aumento dell'evidenza di leucemia acuta nel periodo 1990-2001 e per l'intero periodo 1990-2007. Secondo i ricercatori. «I risultati suggeriscono un possibile eccesso di rischi di Al nelle immediate vicinanze delle centrali nucleari francesi nel 2002-2007. L'assenza di qualsiasi associazione con il Dbgz può indicare che questa associazione non può essere spiegata con le emissioni gassose delle centrali nucleari Complessivamente, i risultati dell'inchiesta e le analisi collaborative su studi "multisite" condotti in vari Paesi evidenziano potenziali fattori di rischio legati alla vicinanza con le centrali nucleari». Infatti, lo studio pubblicato dall' International Journal of Cancer conferma quello condotto in Germania dal Registro dei cancri di Mayence nel 2008, che era giunto alle stesse conclusioni.
Réseau "Sortir du Nucléaire" spiega che «Questo studio epidemiologico rigoroso condotto da un'équipe dell'Inserme dell'Irsn, cosi come il Registre National delle malattie ematologiche dei bambini di Villejuif, dimostra per il periodo 2002-2007 in Francia un raddoppio della frequenza della comparsa di leucemie infantili: l'aumento va fino a 2,2 tra i bambini di meno di 5 anni».
«Per anni - ricorda Sortir du nucléaire, che non rinuncia a prendersi una rivincita - abbiamo visto l'Irsn lavorare allo smontaggio di tutti gli studi epidemiologici che dimostrano un impatto delle installazioni nucleari sulla salute: smontaggio dello studio di JF Viel che dimostra un eccesso di leucemie e cancri infantili intorno a La Hague: smontaggio dello studio che dimostrava eccessi di leucemie infantili intorno alle centrali tedesche. Réseau "Sortir du nucléaire", una volta tanto, non farà male a complimentarsi con l'Irsn per la sua partecipazione a questo studio epidemiologico. Anche in una situazione non accidentale, ancora una volta viene portata la prova che la tecnologia nucleare non appartiene più ad al mondo civile»
(Fonte: http://www.greenreport.it/_new/index.php?lang=it&page=default&id=14072)
Dominique Laurier, responsabile del reparto di Epidemiologia dell’Istituto di radioprotezione e sicurezza nucleare (IRSN) e co-autore dello studio, commenta che si tratta di un risultato verificato e statisticamente significativo, oltre che sorprendente. In effetti, studi precedenti non avevano registrato scostamenti evidenti rispetto alla media nazionale. Tuttavia, fra il 2002 e il 2007, periodo di riferimento del nuovo studio, 14 bambini con meno di 15 anni che abitano in un raggio di 5 km dai siti nucleari si sono ammalati di leucemia, un’incidenza superiore del doppio rispetto al normale.
Si tratta però di numeri troppo bassi per giungere a conclusioni definitive, per ottenere le quali il dott. Dominique Laurier suggerisce l’avvio di studi più approfonditi.
I ricercatori francesi ipotizzano la presenza di altri fattori scatenanti, come l’esposizione a particolari agenti naturali industriali, ma l’ipotesi più dibattuta é quella che gli afflussi di etnie diverse possono modificare l’equilibrio immunitario di un popolo. Peraltro diversi studi hanno già sostenuto tale ipotesi, spiega la dott.ssa Clavel.
Altri ricercatori tuttavia esprimono dubbi in proposito, anche perché l’ipotesi non spiega i risultati di uno studio tedesco, che sul lungo periodo ha mostrato un’incidenza doppia nei casi di leucemia sui bambini con meno di cinque anni che risiedevano vicino a centrali nucleari, in aree non interessate dal fenomeno dell’immigrazione.
(Fonte: http://www.italiasalute.it/Centro_Malattie.asp?Sezione=Leucemia; articolo di Andrea Piccoli, 16 /01/2012)
En décembre 2007, l’Institut fédéral allemand de protection contre les rayonnements ionisants a rendu publique une étude épidémiologique multi-sites portants sur 16 sites nucléaires allemands, qui fait état d’un excès de risque de leucémies chez les enfants de moins de cinq ans vivant dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires allemandes.
Suite a cette étude, l’IRSN a entrepris une revue critique de la littérature scientifique internationale sur le risque de leucémie chez l’enfant vivant à proximité d’installation nucléaires. Cette étude cherche à répondre à la question « la fréquence des leucémies à proximité de sites nucléaires est-elle plus élevée qu’ailleurs ? ».
(Pour lire la revue: http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Documents/IRSN-Rapport-Leucemie.pdf)
Des chercheurs de l’Inserm et de l’Université Paris 11 publient dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire les premières données sur les cancers de l’enfant pour la période 2000-2004. Elles montrent une augmentation du nombre de nouveaux cas qui pourrait s’expliquer par de meilleurs outils de diagnostic. Au total, un enfant sur 440 est susceptible de développer un cancer avant l’âge de 15 ans.
Bien que rares et ne représentant que 0,2% des décès par cancers en 2005, les cancers de l’enfant constituent la deuxième cause de mortalité entre 1 et 14 ans, après les accidents.
L’étude dirigée par Jacqueline Clavel (Inserm/ Université Partis Sud) et publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’Institut de Veille Sanitaire couvre pour la première fois l’ensemble du territoire français métropolitain. Elle est basée sur le Registre national des tumeurs solides de l’enfant qui fournit des données annuelles sur l’incidence des cancers de l’enfant en France.
Au total, 8.473 cancers ont été enregistrés chez les enfants de 0 à 14 ans entre 2000 et 2004, dont 3.446 hémopathies malignes (maladies du sang) et 5 027 tumeurs solides. Les chercheurs estiment le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de nouveaux cas survenus durant la période étudiée, à 156,6 cas de cancers par an et par million d’enfants. "En d’autres termes, précisent les auteurs, un enfant sur 440 est susceptible de développer un cancer ou un tumeur cérébrale bénigne avant l’âge de 15 ans."
Le nombre de cas observé est 20% plus élevé chez les garçons et environ 50% des cancers de l’enfant sont survenus avant 5 ans, avec une répartition par tranche d’âge variable selon les cancers. Les cancers les plus fréquents sont les leucémies (29%), les tumeurs du système nerveux central (23%), les lymphomes (12%) et les neuroblastomes (8%).
L’incidence globale des cancers observée est en hausse par rapport à la période 1990-1999. Selon les auteurs ces chiffres sont concordants avec ceux observés en Europe et aux Etats-Unis et peuvent s’expliquer par une amélioration des techniques de diagnostic de ce type de cancers. Au-delà de l’obtention de statistiques sur les cancers de l’enfant, ces registres répondent également à un objectif de santé publique : rechercher les causes de ces cancers afin de mieux les prévenir.
(Source :www.inserim.fr)
Le centrali nucleari francesi responsabili dell'incremento di leucemie infantile acute?
International Journal of Cancer pubblica la ricerca "Childhood leukemia around French nuclear power plants - the Geocap study, 2002-2007" nella quale un team di ricercatori francesi dell' Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) e dell'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (Irsn) riportano i risultati degli studi sui rischi di leucemia leucemia infantile acuta (Al) nei dintorni delle centrali nucleari francesi, a partire dalla ricerca Geocap dell'Inserm che include i 2.753 casi diagnosticati in tutta la Francia continentale tra il 2002 ed il 2007, geo-codificati e situati intorno alle 19 centrali nucleari francesi, e gli oltre 30.000 controlli sulla popolazione.
Lo studio ha utilizzato distanza di centrali nucleari e dose-based geographic zoning (Dbgz) , «Basata sulla dose stimata di midollo osseo in relazione agli scarichi gassosi delle centreali nucleari». E' venuto fuori che « Un odds ratio (Or) di 1.9 [1.0-3.3], basato su 14 casi, è stato evidenziato per i bambini che vivono entro 5 Km dalle centrali nucleari, paragonati con quelli che vivono lontano 20 km o più, ed un'associazione molto simile è stata osservata in concomitanti studi di incidenza (standardized incidence ratio (Sir) = 1.9 [1.0-3.2]). Questi risultati sono stati simili per tutti i 5 gruppi di anni di età . Questo persiste anche dopo le stratificazioni per alcune caratteristiche contestuali di comuni di residenza». I risultati, utilizzando il Dbgz risultato nell'Or e nel Sir, si avvicinano maggiormente. Inoltre non c'è stato un aumento dell'evidenza di leucemia acuta nel periodo 1990-2001 e per l'intero periodo 1990-2007. Secondo i ricercatori. «I risultati suggeriscono un possibile eccesso di rischi di Al nelle immediate vicinanze delle centrali nucleari francesi nel 2002-2007. L'assenza di qualsiasi associazione con il Dbgz può indicare che questa associazione non può essere spiegata con le emissioni gassose delle centrali nucleari Complessivamente, i risultati dell'inchiesta e le analisi collaborative su studi "multisite" condotti in vari Paesi evidenziano potenziali fattori di rischio legati alla vicinanza con le centrali nucleari». Infatti, lo studio pubblicato dall' International Journal of Cancer conferma quello condotto in Germania dal Registro dei cancri di Mayence nel 2008, che era giunto alle stesse conclusioni.
Réseau "Sortir du Nucléaire" spiega che «Questo studio epidemiologico rigoroso condotto da un'équipe dell'Inserme dell'Irsn, cosi come il Registre National delle malattie ematologiche dei bambini di Villejuif, dimostra per il periodo 2002-2007 in Francia un raddoppio della frequenza della comparsa di leucemie infantili: l'aumento va fino a 2,2 tra i bambini di meno di 5 anni».
«Per anni - ricorda Sortir du nucléaire, che non rinuncia a prendersi una rivincita - abbiamo visto l'Irsn lavorare allo smontaggio di tutti gli studi epidemiologici che dimostrano un impatto delle installazioni nucleari sulla salute: smontaggio dello studio di JF Viel che dimostra un eccesso di leucemie e cancri infantili intorno a La Hague: smontaggio dello studio che dimostrava eccessi di leucemie infantili intorno alle centrali tedesche. Réseau "Sortir du nucléaire", una volta tanto, non farà male a complimentarsi con l'Irsn per la sua partecipazione a questo studio epidemiologico. Anche in una situazione non accidentale, ancora una volta viene portata la prova che la tecnologia nucleare non appartiene più ad al mondo civile»
(Fonte: http://www.greenreport.it/_new/index.php?lang=it&page=default&id=14072)
Iscriviti a:
Post (Atom)